Une vidéo virale met en garde les Russes contre les menaces jumelles que représenteraient la nostalgie à l'égard de la période soviétique et l'aspiration à un modèle occidental présenté comme décadent. Sans parvenir à éviter, au passage, les stéréotypes racistes et homophobes...
Liz Wahl témoigne de son expérience d'ancienne journaliste à Russia Today (RT). Extrait de "La vengeance de Poutine", documentaire d'Antoine Vitkine (74 min, 2018) diffusé sur France 5 le 14 mars 2018.
Un peu d'anachronisme, un soupçon de révisionnisme et beaucoup de propagande... : bien que l'élargissement de l'OTAN ne fut jamais à proprement parler l'objet de discussions entre Occidentaux et Soviétiques dans les années 1990-1991, le mythe d'une « promesse non tenue » qui aurait été faite à la Russie a la vie dure.
Vingt ans après le tragique accident de voiture qui coûta la vie à la princesse de Galles et à son compagnon Dodi Al-Fayed, la théorie du complot a vécu.
France 3 diffuse à partir du lundi soir 26 juin quatre heures d'interview du président russe avec le réalisateur de "JFK" qui ne contredit jamais le maître du Kremlin, son héros, et lui laisse proférer de multiples mensonges.
Dans une interview diffusée le 4 juin dernier sur NBC, Vladimir Poutine a laissé entendre que le piratage des serveurs du Comité national démocrate, qui faisait campagne pour Hillary Clinton, pouvait être l’œuvre… des services de renseignement américains eux-mêmes.
Le président vénézuélien Nicolas Maduro a dénoncé mardi 16 mai 2017 en Conseil des ministres le « complot » orchestré selon lui contre son pays par les Etats-Unis avec le concours de l'opposition vénézuélienne et la « campagne de persécution » dont il serait victime.
A deux reprises ce mois-ci, le président russe a été accusé par des responsables politiques d'être derrière un attentat en Russie et en France. Un complotisme pavlovien ne reposant sur aucun début d'élément factuel. Alors qu'un agent de police a été assassiné jeudi soir vers 21 heures sur l'avenue des Champs-Elysées et que deux autres […]
Comme à la suite du massacre chimique de la Ghouta en 2013, Vladimir Poutine est allé jusqu'à parler de « mise en scène spécialement conçue » à des fins médiatiques.