Les violences urbaines qui ont suivi le décès de Nahel ont convaincu une partie de l'extrême droite de la nécessité de s'organiser en prévision d'une guerre civile. Un discours sécessioniste alimenté par une rhétorique antisémite et complotiste.
Cette inquiétante affaire « WaffenKraft » met en lumière le lien organique qui unit complotisme et radicalisation. Rappelons les faits : quatre membres de ce groupe d’ultra-droite sont jugés jusqu’au 30 juin devant la cour d’assises des mineurs de Paris pour « association de malfaiteurs terroriste ». Parmi les cibles qui avaient été envisagées par ces néonazis : des mosquées, un concert […]