À la tête d’une immense machine à désinformer, l’oligarque incarne à lui seul le concept de la « guerre hybride » et se tiendrait déjà prêt pour perturber l’élection américaine de novembre.
Depuis l’hospitalisation d’Alexeï Navalny jeudi dernier, les médias russes ont diffusé plusieurs théories alternatives à celle de l’empoisonnement. Des théories qui se contredisent entre elles, mais qui obéissent à la stratégie habituelle du Kremlin : saturer l’espace informationnel pour étouffer la vérité.