C’était il y a quatre ans. Une semaine après le début des manifestations contestant la réélection du président Ahmadinejad, une étudiante iranienne, Neda Agha-Soltan, est abattue d’une balle en pleine poitrine à Téhéran. Les images de la mort de la jeune femme suscitent rapidement une vague mondiale d'émotion et d'indignation que le régime des mollahs tente d’endiguer... en criant au "complot".