On a affaire à un ovni, qui emprunte aussi bien au classique « Le Prisonnier » (1967-1968), associé à la figure énigmatique de Patrick McGoohan, qu’au plus récent « Lost » (2004-2010). « Wayward Pines » se présente comme une hybridation réussie de thriller, de science-fiction et de fantastique dans une apparence d’utopie se révélant dystopique. (...)
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Voir aussi, du même auteur :
* Je doute, donc je suis… moderne
* Peut-on douter de tout ? Tocqueville et Wittgenstein contre Bigard et Kassovitz
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